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"La seule façon de mettre fin à ce conflit sans une victoire totale, ce qui est improbable, est de parvenir à une solution négociée. Et le Maroc a certainement des atouts forts", a indiqué le spécialiste américain au sujet de l'engagement du Royaume pour une résolution pacifique au conflit libyen avec la tenue à Bouznika du dialogue entre les délégations du Haut conseil d'État et le Parlement de Tobrouk.
M. Weitz, qui avait travaillé auparavant, entre autres, à l'Université Harvard et au département américain de la Défense, a ajouté que le Maroc est un "acteur régional très au fait de la situation sur le terrain" de même qu'il est de "bonne foi, et ses bons offices sont très élevés".
"L'avantage aussi pour le Maroc est qu'il n'est perçu par aucune partie au conflit, comme une force perturbatrice, a-t-il poursuivi notant qu'"au moment où les Etats-Unis entendent se réengager sur cette question, et alors que les Européens cherchent un médiateur, le Maroc aura un rôle critique à jouer" en vue d'un compromis politique qui réunisse sur une base inclusive l'ensemble des différents acteurs libyens.
"Le Maroc aurait un bon rôle, et Sa Majesté le Roi est très respecté, il est perçu comme un bon partenaire des Etats-Unis (...) et nous avons vu à quel point il jouit d’un fort soutien en Europe et aucune opposition en Russie, en Chine ou de la part d'un autre membre majeur du Conseil de Sécurité", a conclu l'analyste américain.
A travers les déclarations de soutien aux pourparlers inter-libyens en cours à Bouznika de la part des Nations Unies, de l'Union européenne, de l'Union africaine ou encore de la Ligue arabe, la communauté internationale a salué le rôle "constructif" et "actif" du Maroc qui a contribué, depuis le début de la crise libyenne, aux efforts visant à parvenir à une résolution pacifique du conflit dans ce pays et la promotion de la paix et la stabilité dans la région.