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- Moyen-Orient : M. Bourita réitère les fondamentaux de la position du Maroc tels que définis par SM le Roi et souligne que les attaques contre le SG de l’ONU et des Chefs d’Etat étrangers sont condamnables
- La décision de la CJUE est "en déphasage avec la réalité" et "sans impact" sur la question du Sahara marocain
- La politique migratoire définie par SM le Roi est fondée sur la responsabilité partagée, la lutte contre les stéréotypes et la mobilisation contre les réseaux de trafic d’êtres humains
Concitoyens Bloqués. Le Conseil de Gouvernement salue les mesures prises par les Ambassades et les Consulats du Royaume
Lors d’un point de presse, à l’issue du Conseil de Gouvernement présidé par le Chef du Gouvernement, M. Saad Dine El Otmani, le Ministre de l’Éducation nationale, de la Formation professionnelle, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, porte-parole du gouvernement, Said Amzazi a précisé que ce soutien touche pas moins de 5.704 personnes ayant exprimé le besoin dans ce sens, faisant savoir que l’exécutif suit leur situation de près et insiste sur « l’importance de mettre en place les conditions nécessaires à leur retour ».
Le retour des Marocains bloqués à l’étranger doit prendre en considération l’évolution de la situation épidémiologique interne et ce, dans le cadre de l’approche globale adoptée par le Royaume pour faire face à cette pandémie, pour ainsi faire en sorte que ce retour ne constitue un risque ni pour ces personnes, ni pour leur pays”, a poursuivi M. Amzazi, au terme de cette réunion qui s’est déroulée en visioconférence.
“Le droit au retour est un droit naturel et indiscutable. Or ce qui est évident n’est pas nécessairement approprié dans ce contexte exceptionnel”, avait déclaré récemment le Ministre des Affaires étrangères, de la Coopération Africaine et des Marocains Résidant à l’étranger, M. Nasser Bourita.
Abordant les prérequis du rapatriement des Marocains bloqués, M. Bourita avait relevé que “l’opération doit se faire dans les meilleures conditions sans risque pour les bénéficiaires eux-mêmes, ni pour leur pays”, notant que “le sens de la responsabilité exige d’avoir une vision globale pour gérer au mieux progressivement ce dossier dans ses différentes phases compte tenu des divers aspects, y compris ceux logistique et sanitaire”.